Elya De Santos

Carte d’Identité

Nom: De Santos

Prénom: Elya

Sexe: Feminin

Orientation Sexuelle: Bisexuelle

Né(e) le: 01/01/1997

A: Palerme capitale de la Sicile

Taille: 1 mètre 70

Race: Diurne

Pouvoir: /

Arme: Une dague japonaise

Descriptions

Physique: Sportive, Elya a le corps souple et bien proportionné. Abdos, légèrement musclés des bras et jambes, cette ancienne athlète ne connaît pas les excès de poids. Ayant de grands yeux de couleur marron foncés et de long cheveux lisses de la même couleur, elle tient ceux ci de sa mère portuguaise. Chaussant du 40, elle a les pieds fins. Ses doigts sont légèrement gros et long. Elle a hérité de ses origines italienne et portuguaise ses formes généreuses qui se voient au travers de sa bouche, ses hanches, ses fesses et ses cuisses. Sa peau lisse, ne présente que rarement des défauts. Quelques marques dû à des blessures ne sont voyantes qu’une fois ses vêtements retirés, souvenirs de ses activités illicites

Caractère: Dynamique, Elya est une ancienne atlète. Elle aime tout ce qui touche au sport, à l’art et à la gastronomie. Sérieuse, elle sait se montrer espiègle et taquine à des occasions. Jouant de son regard, elle sait le rendre aussi bien froid et dur lors de ses négociations, qu’aguichant et sensuel lorsqu’elle désire séduire quelqu’un. Ayant deux facettes, elle se montre douce, attachante presque enfantine, avec ses parents et amis proches. Le reste du temps, elle parait froide, distante et dure. Ses mots sont tranchants, elle va droit au but et déteste qu’on lui fasse perdre son temps. Partisane du « chacun pour soi », elle n’hésite pas à sacrifier ou se débarrasser de quiconque lui fait de l’ombre ou l’embarrasse. Loyale envers ceux qui parviennent à pénétrer sa carapace, elle sait se montrer généreuse et juste envers eux. Intraitable avec ceux qui la trahissent ou se jouent d’elle, elle hait l’hypocrisie, le mensonge gratuit et l’intolérance. Cette jeune femme de 23 ans est aussi complexe que libertine.

Biographie:

1997- Chambre maritale de Victorio et Aurélie De Santos.

Médecin-« pousse Aurélie, pousse encore »

Victorio-« Elle faiblit Juanes, je ne pense pas qu’elle y arrivera cette fois »

Médecin-« Allons Aurélie, tu peux le faire pousse, pousse encore, libère ta fille»

Poussant de toutes ses forces, Aurélie De Santos, réussit à mettre au monde sa fille Elya, un premier janvier 1997 à quatre heures trente du matin. L’enfant s’était présenté par le siège et il avait fallut la remettre dans la bonne position rapidement car deux choix s’offraient au couple : Aller à l’hôpital et perdre l’enfant, ou tenter d’accoucher sur place dans des conditions difficiles. Le second choix avait été prit et c’est dans la douleur et l’angoisse que Aurélie devint mère pour la sixième fois. Les cris de l’enfant emplissaient la pièce et c’est avec angoisse que la mère de celui-ci accueillit sa fille aux creux de ses bras.

Victorio- « ça fonctionnera cette fois, tu verras Aurélie, tu verras… »

Regardant avec amour sa fille, Aurélie ne répondit pas à son mari, des sentiments divers et forts se bousculaient en elle. De petits yeux noirs la regardaient sans vraiment la voir et déjà la petite bouche rose de sa fille, se dirigeait vers ses tétons afin de se nourrir.

Aurélie- « j‘ai confiance en dieu Victorio, j‘ai confiance»

Lentement, le ventre plein, l’enfant s’endormit, sous le regard bienveillant de sa mère et son père.

Palerme capital de la Sicile c’est sur un terrain d’une centaines d’hectares que l’ensemble des villas de la famille De Santos s’étendent. Famille soudée, ses membres vivent ensemble, se partageant les parcelles de terrains. Cela permet, une meilleur protection et le développements des liens familiaux . Tel est la force de ce clan. Vivant dans la capital de la drogue et des trafics en tout genre, la famille s’était tout d’abords spécialisée dans la contrebande, pour finir par la drogue et les armes. Louis De Santos, grand père d’Elya et patriarche de la famille, était l’un des parrains de la mafia local. Il assurait la pérennité de sa famille et veillait à la bonne entente des membres de sa famille. Véritable pilier et aimé de tous, il était parvenu à différencier sa famille des autres du cartel. En effet, il était impossible pour les autorités de se servir des problèmes intra familial pour parvenir à leurs fins, car il n’y en avait pas. De plus, la loyauté que ses membres avaient pour Louis et l’amour qu’ils se portaient mutuellement, rendait la tache que plus ardue. Ayant bien fait attention de ne privilégier aucuns de ses enfants ou petits enfants, les jalousies n’avaient pas lieu d’exister. C’est donc dans une famille unie et stable qu’ Elya grandit.

Seulement si dans l’ensemble la famille était unie et heureuse, une fois la porte des foyers passée, l’ambiance était tout autre. La mère d’Elya affaiblie par les différentes morts de ses enfants, faisait régulièrement des dépressions et était sous médicaments. Son père trop pris par ses affaires, n’était guère à la maison. Il comblait donc son absence par des cadeaux, mais une fois présent, il ne se séparait jamais de son enfant. A l’âge de trois ans, Elya tomba très gravement malade, sa mère se mit à nouveau à faire une dépression, passant son temps à son chevet ou cloîtrée dans son lit sous médicaments. C’est donc son père qui était le plus présent. Souvent il pleurait se maudissant, désespéré au chevet de sa fille. Elya quant à elle, ne se nourrissait que très peu et souffrait de fièvres et vomissements. Au matin du deuxième mois, on pensait déjà à l’euthanasier afin d’abréger ses souffrances, mais lorsque le père demandait à Elya si elle désirait aller au ciel avec ses frères et sœurs, la petite fille répondait qu’elle préférait rester ici avec lui. Alors le père repoussait toujours à plus tard l’acte fatidique. Les mois passèrent, voyant les membres de la famille venir au chevet de la petite.

Victorio avait lui-même eu cinq frères et sœurs, mais seulement trois avaient survécus. Rolanda, Frédérico et lui. Les petits miracles comme les appelaient leur mère. Celle-ci avait veillé à leur éducation, et leur avait dévoilé très tôt leur nature diurne. Plus tard, ils comprirent que leur nature, était source de douleurs. En effet Rolanda eut trois enfants, un seul survécu. Frédérico quant à lui, en eut huit de différentes femmes. Seul deux survécurent. Victorio en eut cinq et Elya la sixième semblait suivre le même chemin que ses frères et sœurs. Aussi Rolanda et Frédérico étaient les seuls vraiment à même de comprendre la douleur de Victorio. Le calvaire de la famille continua durant cinq mois. Le grand père d’Elya se disputa même avec son fils une nuit.

Louis- « N‘As-tu pas honte de faire souffrir ta fille ainsi? Il s‘agit de ma petite fille et je refuse qu‘elle souffre une nuit de plus! Victorio ouvre les yeux, elle n‘est qu‘une morte en sursit, n‘as-tu donc aucune pitié pour elle?»

Victorio- « Je refuse de croire que ses paroles sortent de ta bouche! C‘est-ce que tu as dit à maman pour mes frères et sœurs? Tu lui as dit de les tuer? Qu‘ils n‘avaient aucune chance? Dis moi papa, leur as-tu lassé une chance?»

Louis- « Ils sont tous morts très vite Victorio, je n‘aurais jamais abrégé les souffrances de mes enfants si je n‘étais pas sur de leur inévitable fin. Pour quel genre de père me prends tu? Est-ce cette image de moi que tu as? Celle d’un monstre?»

Victorio- « Je ne sais pas! Je ne sais plus rien, je vois juste mon enfant souffrir depuis des mois et se battre pour survivre. Je lui demande chaque soir si elle désire rejoindre ses frères et sœurs et chaque soir elle me répond que non. Comment veux tu papa que je l‘y envoie? Comment? Je l‘aime plus que tout, c‘est mon enfant! C‘est ma petite fille……»

Victorio s’effondra dans les bras de son père et ils ne se disputèrent plus à propos d’Elya. Un mois plus tard, Aurélie entra dans la chambre de sa fille et la trouva assise sur son lit, le sourire aux lèvres. Accourant vers celle-ci, la petite fille l’enlaça et lui dit avec un magnifique sourire qu’elle avait faim. Phrase qu’accueillit sa mère avec un grand éclat de rire. Pendant deux semaines, il y eu fête sur fête à la maison. Elya était en pleine forme et pouvait enfin faire connaissance avec ses cousins. Son père prit beaucoup plus de temps pour être en famille et devint un véritable papa gâteau pour sa fille. Elya grandit donc entourée de beaucoup d’amour, que cela vienne de ses parents, son grand père ou son oncle et sa tante. Vers l’age de onze ans, elle commença sous la tutelle de son père à apprendre le maniement des armes à feu. Son grand père quant à lui, lui enseigna vers ses treize ans, l’art de la négociation, de la tricherie et duperie. Son oncle était plus spécialisé dans la manipulation, il lui apprit à ses quinze ans comment emmener les gens à faire ce qu’elle voulait qu’ils fassent. À la même période, elle apprit les différents arts martiaux, afin de savoir se défendre et attaquer une fois désarmée.

2015- A ses dix huit ans, Elya finit ses études munie d'un bac scientifique. Désireuse de prendre part dans les affaires familiales, elle fut introduite petit à petit dans le milieu sous la protection de son père et son oncle. Son cousin Armando était devenu son meilleur ami, il était le fils de Frederico l’oncle d’Elya. Tout deux désirèrent travailler ensemble et c’est ainsi qu’ils apprirent tout ce qu’il y avait à savoir pour réussir dans le milieu.

2018- Elya venait d’avoir 21 ans lorsque lors d’une négociation, son oncle se fit tuer devant ses yeux et ceux d’Armando. La semaine qui suivit, Elya et Armando sans l’accord de leur grand père, se lancèrent dans une vendetta contre les Guardiano. Famille puissante du nord de l’Italie, les Guardiano étaient depuis longtemps l’ennemi principal de la famille De Santos. Bien que la rivalité soit forte, ces deux familles faisaient du bizness ensemble, seulement le jour de la mort de Frédérico, l’un des petits fils du parrain italien avait voulut défier celui-ci qui l’avait ridiculité. Lui tirant dessus, Frédérico se releva et lui planta sa dague en or et argent dans le cou. Le frère de celui-ci, fou de rage sortie son sabre et trancha d’un geste rapide la tête de Frédérico. Il est sur que ce jeune homme ne connaissait rien de la nature de Frédérico, ni de la manière de le tuer. Il avait utilisé sans le savoir le seul moyen pour le tuer et venait par la même de déclencher une guerre qui allait durer des années.

Elya et Armando furent donc les premiers à répondre. Ils commencèrent par brûler les entrepôts et tripaux de la famille Guardiano. Puis ils reprirent les marchés de ceux-ci. Tuant tous ceux qui se dressaient sur leur chemin, ils remontèrent petit à petit sur les traces de l’assassin de leur oncle et père. Leur folle vengeance était semée des cadavres de la famille Guadiano, oncles, tantes, cousins, neveux, tous y passaient sans aucunes pitié. Finalement, arriva le jour ou ils retrouvèrent le coupable. Le patriarche de la famille Guardiano avait été contraint de faire appel à Louis pour arrêter ce désastre. Cela faisait déjà un an que cette guerre durait. Un an durant lequel il avait vu chacun des membres de sa famille faisant partie du milieu se faire tuer. Armando et Elya furent contraints par leur grand père de laisser en vie le coupable. Celui-ci fut envoyé loin de l’Italie. Armando et Elya ne pardonnèrent pas cette trahison à leur grand père et s’en suivit de terribles échanges qui se finirent par le départ des deux petits enfants sous le regard douloureux de leur grand père. Ils avaient décidé de couper les ponts avec lui et donc de monter leur propre organisation. Ils partirent loin de la Sicile et s’installèrent dans la ville de New York.
2020-Là durant un an, ils se firent un place et un nom, leur nom de famille aidant. Mais voyant les choses tournées en leur défaveur, ils choisirent de partir s’installer dans une ville florissante qui faisait depuis quelques années parler d’elle. Bloodwish devint leur nouveau terrain de jeu. Ils y créèrent une organisation solide et lucrative. Faisant dans le trafic de drogues et d’armes, ils se partagèrent les taches, Elya se spécialisant dans la drogue, Armando dans les armes. Bientôt leur grand père commença à faire parler de lui dans la ville. Apparemment, il cherchait à récupérer ses petits enfants et le fruit de leur travail. Seulement la trahison n’était pas oubliée et Armando et Elya se liguèrent contre leur grand père. Commença alors une guerre pour le contrôle de Bloodwish…..

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